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Quand aurais-je besoin d’une IRM pelvienne, IRM lombaire ou bien IRM cérébrale ? Y a-t-il des risques à ce propos ?

 

Médicalement parlant, on entend souvent par l’IRM pelvienne, IRM lombaire et IRM cérébrale. Et comme lesdits termes sont plus ou moins dotés d’une certaine complexité pour les individus lambdas. Nous avons jugé utile de clarifier de certaines ambiguïtés dans ce sens-là avec des mots plus simples.

La première question qui semble intéressante à poser : Qu’est-ce que c’est L’IRM au juste ? 

L’IRM est tout simplement un acronyme de l’Imagerie par Résonance Magnétique, qui est un examen indolore qui produit des images très claires des organes et des structures de votre corps. Il est souvent utilisé pour la détection des maladies, le diagnostic et le suivi des traitements. D’où son utilité à aider notamment à diagnostiquer ou à surveiller le traitement de nombreuses affections différentes. Il existe également différents types d’IRM : Bien entendu celle Pelvienne, lombaire et cérébrale tout en fonction de la zone de votre corps à examiner. 

Pourquoi faire une IRM abdominopelvienne ? Ou IRM pelvienne?


Une IRM abdominopelvienne ou IRM pelvienne, est un examen d’imagerie de 30 à 60 minutes généralement, qui utilise un appareil doté de puissants aimants et d’ondes radio pour créer des images de la zone située entre les os de la hanche. Cette partie du corps s’appelle la région pelvienne. Les structures situées à l’intérieur et à proximité du pelvis comprennent la vessie, la prostate et les autres organes reproducteurs masculins ou féminins, les ganglions lymphatiques, le gros intestin, l’intestin grêle et les os du pelvis. L’IRM n’utilise pas de radiations. Les images individuelles de l’IRM pelvienne sont appelées tranches.
 

L’utilité d’un tel examen abdominopelvienne est son aptitude à aider à détecter des problèmes tels que des tumeurs dans les ovaires, l’utérus, la prostate, le rectum et l’anus. Il peut également être avantageux pour rechercher une fistule anale (un passage en forme de tube entre le canal anal et un trou dans la peau près de l’anus) et pour rechercher la cause de douleurs pelviennes chez les femmes, comme l’endométriose.

Pourquoi faire une IRM lombaire ?

L’IRM lombaire examine spécifiquement la section lombaire de votre colonne vertébrale – la région où les problèmes de dos prennent généralement naissance.
Votre médecin pourra préconiser une IRM du rachis lombaire afin de mieux diagnostiquer ou traiter les problèmes de votre colonne vertébrale. Une douleur liée à une blessure par exemple, une maladie, une infection ou d’autres facteurs peuvent être à l’origine de votre état.

Pourquoi faire une IRM cérébrale ?

Tout court, L’IRM du cerveau produit des images détaillées du cerveau et du tronc cérébral.
L’IRM de la cérébrale peut aider les médecins à rechercher des conditions telles que des saignements, des gonflements, des problèmes de développement du cerveau, des tumeurs, des infections, des inflammations, des dommages causés par une blessure ou un accident vasculaire cérébral, ou des problèmes de vaisseaux sanguins. 

L’IRM du cerveau peut également aider les médecins à rechercher les causes de votre bête noire : les fameux maux de tête ! ou encore plus loin : l’origine des crises d’épilepsie.

Quels sont les risques d’une IRM pelvienne ? IRM lombaire ? IRM cérébrale ?

 En effet, Il y a peu de risques liés à l’IRM car l’examen n’utilise pas de radiations comme déjà mentionné. À ce jour, les ondes radio et les aimants utilisés dans l’examen n’ont pas eu d’effets secondaires documentés. Or, il existe des risques pour les personnes qui ont des implants contenant du métal. Les aimants utilisés dans une IRM peuvent causer des problèmes avec les stimulateurs cardiaques ou faire bouger les vis ou les broches implantées dans le corps. Une autre complication est une réaction allergique au produit de contraste. Au cours de certains examens IRM soit lombaire, cérébrale ou pelvienne, un produit de contraste (lire l’article pour comprendre ce qu’est un produit de contraste)  est injecté dans la circulation sanguine pour donner une image plus nette des vaisseaux sanguins dans la zone examinée. Le type de colorant de contraste le plus courant est le gadolinium. Les réactions allergiques au colorant sont souvent bénignes et faciles à gérer et à contrôler avec des médicaments. Cependant, parfois, des réactions anaphylactiques (graves des fois) peuvent se produire.

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